Groseillier à maquereau Varianta bio

Culture du groseillier à maquereau

Ses fruits sont beaucoup moins acides que ceux du groseillier à grappe et peuvent être dégustés frais.

Ils sont riches en vitamines C, A et B et en sels minéraux (calcium, fer, potassium, phosphore).. Cet arbuste aime les sols fertiles et bien drainés mais frais et idéalement riche en matière organique Il apprécie un emplacement mi-ombre à ensoleillé. Son nom étrange vient de son utilisation traditionnelle dans la recette d'une sauce pour accompagner les maquereaux. Il est souvent recommandé de le planter à l'automne pour le laisser s'installer en hiver avant de démarrer au printemps. Vous pouvez aussi le planter jusqu'au début du printemps, surtout si votre sol est assez lourd. Dans ce cas, il faudra veiller à ce que le sol ne se dessèche pas le premier été car le groseillier à maquereau est particulièrement sensible à la sécheresse. Tous les groseilliers à maquereau sont autofertiles et fructifient généralement sur du bois de 2, 3 ou 4 ans.

Vous pouvez le conduire en tige mais il est beaucoup plus simple de le laisser en buisson libre. La taille consiste à supprimer les rameaux âgés (plus de 4 ans) pour renouveler les branches fruitières. Il résiste sans problème à des gelées sévères (-18°C).

Phytosociologie du groseillier à maquereau

Selon la base de données Sophy, on retrouve parmi les Ribes uva-crispa sauvages des frênes, noisetiers, aulnes glutineux, houblon, prunellier, groseillier à grappes, pulmonaire, robinier, saule marsault, sureau noir, tilleuls à grandes et petites feuilles, valériane, ortie, consoude tubéreuse, églantier des champs, oseille sanguine, lierre, aubépine, érable champêtre, orme champêtre (non exhaustif). Si ces espèces se plaisent chez vous, il y a toutes les chances pour que les groseilliers à maquereaux s'épanouiront aussi.